Le Bellemare salue le retour de Beausoleil et de Morin

Les Barons du Cap-de-la Madeleine s’amenaient à Louiseville vendredi dernier, pour y affronter le Bellemare. Il s’agissait d’une première visite pour l’ancien gardien du Black and Yellow Carl Beausoleil et l’ancien capitaine David Morin sur le banc des visiteurs du Centre Sportif de Louiseville. Le match marquait aussi le retour au jeu de Jean-Simon Lemay dans l‘uniforme Bellemare, lui qui a patrouillé longtemps la ligne bleue dans les différentes équipes seniors qui ont évolué à Louiseville. Le duel de vendredi dernier a été dominé par les hôtes, 10 à 4, grâce à une offensive explosive.

David Poulin a pris les commandes pour le Bellemare, avec 39 secondes d’écoulées grâce à une passe de Daniel Pharand et de Philippe Bronsard-Lauzière. Karl Donovan avait prédit peu de temps après le match tenu au Cap-de-la-Madeleine il y a quelques semaines, que le prochain match opposant les deux équipes serait à ne pas manquer. Le #28 du Bellemare s’est offert un excellent combat face à Kevin Talbot, il fût très apprécié par le public. Puis, Steven Oligny n’a pas eu froid aux yeux en invitant Samuel Lévesque, d’ailleurs, il en eut plein les bras. De son côté, Arsen Gavrilovic a livré un furieux combat face à Alex Jalbert, Jalbert n’est pas revenu dans le match suite à une blessure. Après les combats, Eddy Martin Welland s’est illustré sur la première passe de la saison de Jean-Simon Lemay. Ensuite, Marc Girouard a enfilé le troisième but du Bellemare. Les Barons sont parvenus à inscrire un seul but lors de ce premier vingt, Joël Coulombe a marqué avec l’aide de David Morin et Kevin Harel. Avant de terminer l’engagement, Eddy Martin Welland s’est emparé d’un disque libre devant le filet et l’a projeté directement dans la cage du Cap-de-la-Madeleine. Puis, Samuel Lévesque a complété une belle manœuvre organisée par David Poulin. Le Bellemare avait déjà réglé le sort des visiteurs en avant 5 à 1 après 20 minutes.

Les Barons ont déployé plus d’énergie en troisième, mais en vain, il était trop tard.