Une première chanson de Noël pour les Frères Lemay

MUSIQUE. Le FestiVoix de Trois-Rivières s’est allié aux Frères Lemay pour offrir un cadeau spécial aux amateurs de musique: une toute nouvelle chanson de Noël!

Écrite et composée par le duo de Saint-Boniface, Noël Noël des Frères Lemay fait un beau clin d’œil à l’univers déjanté des réveillons chez les Lemay, des fermentations aromatiques et douteuses de leur matante Yvette aux manteaux de fourrure empilés sur le lit. De quoi rappeler de bons souvenirs à bon nombre de Québécois!

«C’est notre première chanson de Noël. On avait en tente de faire une chanson énergique, vraiment dans le style typique des Frères Lemay. On a commencé à penser aux faits cocasses de nos fêtes de Noël et de nos rassemblements de famille. Disons qu’il y a peu de fiction! On a eu beaucoup de fun à composer ça», raconte Michel Lemay, des Frères Lemay.

«C’est un truc énergique, typique des Frères Lemay, poursuit-il. On est resté authentique et on ne s’est pas imposé de limite. Je pense que sur le plan du son, c’est dans les chansons les plus accessibles qu’on ait faites. Je crois que ça va également rallier les gens autour d’une image globale qui parle à tout le monde, à ces Noëls où on finissait couché dans les manteaux de fourrure pendant que les jeunes adultes continuaient leur veillée en ville.»

La chanson Noël Noël des Frères Lemay est aussi assortie d’un vidéoclip réalisé par le vidéaste trifluvien David Leblanc.

Noël Noël des Frères Lemay est disponible dès maintenant sur les réseaux sociaux du FestiVoix de Trois-Rivières, ainsi que sur les plateformes musicales numériques (Spotify, Apple Music, Deezer, etc.).

«Tout ça nous donne un souffle à cette période-ci de l’année. En temps normal, Les Frères Lemay font, en moyenne, 20 spectacles au mois de décembre depuis près de dix ans. Cette année, on n’a rien du tout. Je suis content de voir qu’il y a quelque chose qui tient la chandelle allumée», confie Michel Lemay.

Les Frères Lemay travaillent tranquillement sur un nouvel album. «Il y a des idées sur la table et un travail de création qui se passe. Quand on va se remettre à jouer, ça va nous remettre sur un élan de vrai, de non virtuel. C’est le fun de jouer en virtuel, mais il n’y a rien comme la scène. Ça nous manque un peu», conclut-il.