«Je continue de croire aux entreprises de la région»
C’est forte du sentiment du devoir accompli que Caroline St-Arnaud quitte la direction générale de la Chambre de commerce et d’industrie de la MRC de Maskinongé (CCIMM).
Arrivée en poste le 15 juin 2009, Mme St-Arnaud a fait progresser la Chambre de façon significative.
«Le membership est en croissance depuis la venue de Caroline dans notre organisation. De plus, l’organisme est en excellente santé financière comme en fait foi le surplus de 8190 $ dégagé lors de la dernière assemblée générale annuelle», explique Steve Lavigne, président de la CCIMM.
Le taux de participation aux activités de la Chambre a également fait un bond positif sous la gouverne de Mme St-Arnaud. Toutefois, l’ex-directrice générale de la CCIMM ne s’attribue pas tous les honneurs.
«En plus de pouvoir compter sur une équipe formidable, la notoriété des activités y est pour beaucoup dans la progression de l’organisme. La dernière Soirée des Sommets Desjardins a fait un WOW et a beaucoup fait jaser», soutient Mme St-Arnaud dont la démission était effective vendredi dernier.
Les fiertés
Au cours de son mandat, Caroline St-Arnaud a tissé de nombreux liens avec plusieurs partenaires. Outre d’avoir laissé une entité saine financièrement, elle se réjouit d’avoir aidé la Soirée des Sommets Desjardins à passer à un autre niveau.
«Même si je n’en vais, je continue de croire aux entreprises de la région. Pour elles, c’est important de s’impliquer et de participer aux activités. De cette façon la Chambre de commerce sera plus forte et en mesure d’avoir le pouvoir politique afin de défendre les intérêts des entrepreneurs de la MRC de Maskinongé », fait savoir celle qui occupera le poste d’agente de développement au niveau des entreprises à la Commission scolaire de l’Énergie.
Sur une bonne lancée
Malgré son départ, Mme St-Arnaud est d’avis que l’avenir s’annonce prometteur pour la CCIMM.
«Je souhaite que la Chambre continue de se développer et que les gens poursuivent leurs implications. Bref, une belle continuité», conclut-elle.
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