Élections scolaires: entrevue avec Yvon Lemire
ÉLECTIONS SCOLAIRES. À l’approche des élections scolaires du 2 novembre, L’Hebdo Journal s’est entretenu avec les trois candidats au poste de président du conseil des commissaires de la Commission scolaire du Chemin-du-Roy. Voici ce qu’Yvon Lemire avait à dire.
Pourquoi avez-vous décidé de vous présenter au poste de président du conseil des commissaires?
«Le changement qui se fera sera intéressant à explorer, notamment concernant le nombre de commissaires qui passera de 23 à 10. Par ailleurs, on a comme but d’atteindre un taux de diplomation de 83% en 2020. Nous en sommes à environ 77%. Je vous poursuivre cet effort. Je souhaite aussi assurer un suivi rigoureux du plan de redressement du Complexe sportif Alphonse-Desjardins.»
Quel défi ou projet souhaiteriez-vous réaliser ou poursuivre advenant votre élection?
«Maintenir les services aux élèves malgré le contexte de compressions budgétaires dans les commissions scolaires.»
Le taux de participation aux élections scolaires est généralement anémique. Comment comptez-vous sensibiliser la population à se déplacer pour voter?
«Quand je parle aux gens je leur dis: «Vous payez des taxes et vous voulez que cet argent soit dépensé à bon escient. C’est donc important de voter». C’est toute la population qui utilise quotidiennement les services de la commission scolaire. Par exemple, quand vous embauchez un plombier, vous voulez qu’il soit compétent. Il est formé en formation professionnelle au sein de la commission scolaire.»
Comment vous décririez-vous aux citoyens qui ne vous connaissent pas?
«Je suis quelqu’un de persévérant. C’est primordial pour occuper un poste de président dans une organisation comme la commission scolaire où les changements sont réalisables, mais ça prend du temps. Il faut être persévérant.»
Pourquoi voter pour vous comme président?
«Pour mon expérience comme président ces dernières années. Au cours des années passées, j’ai écouté les gens qui m’abordaient avec des commentaires ou des questions. Je veux encore échanger avec eux.»
(M.E.B.A)