25 ans de service pour la SADC

LOUISEVILLE. La société d’aide au développement des collectivités (SADC) de la MRC de Maskinongé a terminé ses 25 premières années d’existence. D’ailleurs, l’organisme dresse un bilan positif et note une évolution constante des services offerts aux gens du territoire de la MRC de Maskinongé.

«On travaille comme dans les années passées sur le capital humain. Nos interventions se font sur l’amélioration des individus dans différents projets comme le mentorat. On forme la relève et on améliore constamment le progrès de nos entreprises du territoire», explique Julie Lemieux, directrice générale de la SADC.

Pour l’année 2013-2014, la Société d’aide au développement des collectivités (SADC) de la MRC de Maskinongé a réalisé via les deux fonds, Stratégie jeunesse et Investissement, pour le financement aux entreprises,

36 investissements pour un montant de 969 588$. Cela a généré des investissements totaux de près de 2.9 M $. Ces investissements auront permis le maintien et la création de 285 emplois. De plus, pour assurer une pérennité des entreprises, la SADC a réalisé plus de 564 interventions en services-conseils représentant 1 250 heures.

La SADC a également poursuivi son implication dans le milieu tout au long de

l’année avec des projets concertés comme le premier forum entrepreneurial

chapeauté par Vision Maskinongé et la Communauté entrepreneuriale, l’Évènement entrepreneurial, ISO-RH, la table de concertation du sarrasin et la table de concertation du développement durable, le Concours québécois en entrepreneuriat, le Marché public d’Yamachiche et d’autres projets ponctuels. D’ailleurs, l’organisme prévoit poursuivre sur le chemin qu’il a tracé au fil des dernières années.

«Nous poursuivons nos interventions, notre projet-pilote de mentorat jeunesse également se poursuit. On accompagne des jeunes dans leur projet de vie avec une personne qui peut être un modèle significatif pour eux. On va continuer et bonifier les projets que nous avons déjà mis en place de façon à s’adapter aux besoins du milieu», promet Mme Lemieux.