Le Carnaval de Québec sous le charme

SUR LE MÊME SUJET: Des «ride-cul» qui vont loin LOISIR. L’organisation du Carnaval de Québec a littéralement craqué pour Lovik Gélinas et ses «ride-cul». Suffisamment pour lancer l’idée folle d’inclure une course de «ride-cul» à sa programmation officielle, raconte la directrice générale de l’événement, Mélanie Raymond. «On reste constamment à l’affût des choses qui se démarquent et qui sont susceptibles de faire bouger les gens, car c’est important pour nous d’inclure des nouveautés à chaque année. Quand on est tombé sur l’histoire de Lovik, on est tombé sous le charme!» Il faut dire qu’une course de «ride-cul» au Carnaval fait tout son sens par son côté spectaculaire et ludique, ajoute la directrice générale. «Ce n’est pas tout le monde qui voudra l’essayer, mais tout le monde prendra plaisir à y assister», juge-t-elle. Pour l’organisation, il est également important de conserver l’authenticité d’un concept qu’elle reprend pour sa programmation. Ainsi, comme ce fut le cas pour la première course de «ride-cul» organisée à Saint-Élie l’an dernier, c’est Lovik et sa famille qui géreront l’activité à la Place Georges-V, le 10 février, soutenus par un animateur de foule. «On tient vraiment à ce que Lovik fasse partie intégrante du concept; qu’il montre aux gens comment ça fonctionne.» Il est bon de mentionner que la date retenue pour l’activité n’est pas le fruit du hasard.  Elle tombe pile pendant la tenue du Tournoi international de hockey pee-wee, dont la clientèle est susceptible d’être attirée par le concept. Quant à savoir si la course de «ride-cul» sera de nouveau intégrée à la programmation officielle en 2019, difficile à dire. «On aime se renouveler. Bien des facteurs nous guideront dans notre décision, notamment l’intérêt des gens, mais aussi de celui de Lovik. Car on ne reprendra pas le concept sans son fondateur, s’il ne souhaite pas répéter l’expérience. Ça fait partie de notre philosophie», mentionne Mme Raymond, précisant en terminant que si le Carnaval a décidé d’acheter dix «ride-cul» à Lovik, ce n’est pas pour refaire des activités du genre avec le matériel, mais bien pour assurer le bon déroulement des  courses. «On n’en fera pas d’utilisation commerciale», assure-t-elle. SUR LE MÊME SUJET: Des «ride-cul» qui vont loin