Bilan positif pour Ruth Ellen Brosseau

POLITIQUE. L’année 2014 a été bien remplie pour la députée néo-démocrate Ruth Ellen Brosseau dans Berthier-Maskinongé.

La réforme électorale des conservateurs, les victimes de la thalidomide, le débat sur l’oléoduc, la motion contre le gaspillage alimentaire et certains engagements en santé ont été les dossiers importants sur lesquels la députée de Berthier-Maskinongé a travaillé.

«Au cours de cette année, ce dont je suis le plus fière ce sont mes motions sur le gaspillage alimentaire et sur les compensations financières pour les producteurs laitiers, a déclaré Ruth Ellen Brosseau. Ce sont deux sujets qui touchent directement ma circonscription. Les régions sont délaissées par le gouvernement Harper, heureusement, le NPD est là pour défendre leurs intérêts.»

Les services aux citoyens sont aussi au cœur des préoccupations de Ruth Ellen. Tout au long de l’année, elle a appuyé la lutte contre les coupures du gouvernement conservateur. D’ailleurs, selon elle, le service canadien des postes est en péril. Une situation inacceptable croit la députée néo-démocrate. Elle s’oppose aussi aux coupes à Radio-Canada.

En tant que porte-parole adjointe en agriculture, madame Brosseau a défendu les droits des agriculteurs, ainsi que mis de la pression sur le gouvernement pour faciliter l’accès à la main-d’œuvre nécessaire pour le bon fonctionnement des fermes.

Ruth Ellen Brosseau, en compagnie de son collègue de Trois-Rivières, Robert Aubin, a fait des gains important dans le dossier de la pyrrhotite, forçant le gouvernement à revoir les normes fédérales. Elle travaille aussi activement pour sauver les emplois du centre fédéral de paie de Shawinigan.

En 2015, s’il est élu à la tête du gouvernement, le NPD prévoit rétablir 36 milliards de dollars en transferts fédéraux en matière de santé, réinstaurer un salaire minimum fédéral de 15$ de l’heure et ouvrir une enquête sur les femmes autochtones assassinées ou disparues. Le NPD veut aussi créer un programme national de garderies à 15$ par jour, selon le modèle du Québec, avec un droit de retrait avec pleine compensation pour la province.

 

Source: NPD